Après une rude journée de plus passé avec Akamaru à s'entrainer, ou plutôt joué à la balle, Kiba rentra chez lui, tranquillement, en rigolant, l'air, légèrement inconscient, avec Akamaru toujours sur sa tête un peu caché par la capuche, comme d'habitude par lequel il marchait d'un pas lent et calme.
Il arriva devant la porte de chez lui, entra. Il continua à rire avec Akamaru. Arrivé vers des planches de bambous, il se déchaussa, se mit debout et se remit à marcher. Il arriva devant une porte également en bambou et entenit des bruits. Il s'approcha finalement doucement, entrouvrit la porte et aperçut...
Ses parents ainsi que des amis qui l'attendait et qui étaient en train de discuter de choses qui avaient l'air sérieuses.
- Bonjour Kiba, tu es déjà rentré ?- Bonjour père, bonjour mère, bonjour sourette. C'est l'heure à laquelle je rentre tous les jours.- Ah ! euh, oui ! Désolé, nous avons pas fait attention à l'heure.- C'est pas grave, vous devez sûrement être débordé par votre travail.La mère de Kiba souffla et se leva doucement d'un pas lent. Elle se dirigea vers lui et se baissa à sa hauteur. Elle était donc à genoux sur le bambou. Elle l'attrapa dans ses bras, le serra fort et des larmes commencèrents à sortir des ses yeux. Elle avait l'air d'une grande tristesse que Kiba ne pouvait comprendre. Même Akamaru ne put comprendre cette tristesse car elle était de leur famille donc elle connaît toutes les astuces pour que les chiens ne les comprenne pas, mais également pour qu'ils les comprennent.
- Mère, pourquoi pleures-tu ? Qu'est-ce qu'il y a ?- Je... C'est que... Mon fils !Elle le serra encore un peu plus dans son étreinte. Il ne se débattit même pas et se laissa faire entièrement. Il aperçut sa grande soeur arriver vers lui et Kiba s'aperçut que elle également possédait ces larmes qu'il venait d'apercevoir sur le visage de sa mère. Il ne savait ce que cela signifiait. Il ne pourrait le deviner si un d'eux le leur dit. La grande soeur de Kiba commença à le serrer à son tour et prit la parole.
- Kiba, ton père, ta mère et moi-même allons partir pour un très long voyage, loin d'ici. Nous te laissons tout. Seul nos chiens sont obligés de nous accompagner, mais nous te laissons Akamaru.- Vous partez ? Où donc ? Pourquoi ne puis-je pas venir ?- Ne laisse pas tomber tes amis, d'accord Kiba ? Répondit le père qui venait de se lever et de rejoindre tout le monde.
C'est pour cette raison que tu ne peux pas venir. Parce que tu n'as pas le droit de laisser tomber tes amis dans n'importe quelle condition, tel qu'elle soit ! Tu m'entend Kiba ?Kiba hocha d'un signe de la tête affirmatif ne comprenant pas où est-ce qu'il voulait en venir. Mais il avait envie de savoir pourquoi tout le monde pleurait car il avait encore une fois aperçut, sur le visage de son père cette fois-ci, les même larmes qui apparement était de la tristesse pure. Elle avait l'air d'être plus que très lourde à porter.
- Mon fils, je te dit simplement et clairement que bien avant ta naissance, ce voyage nous était prévu dès lors que tu rentrerais à l'académie. C'est-à-dire, dès tes douze ans. Nous nous reverrons cette nuit dans la rue. Lorsque tu nous verra, vient nous voir de près, et sans adresser la parole à qui que ce soit, tu mettra ta main dans la poche droite de ma veste. Prend le papier qu'il te sera destiné, lit le, et amène-le par la suite à l'hockage qui sera comment réagir. Souviens-toi d'une seule chose, ce nom Akatsuki.- C'est un peu compliqué, je ne te comprend plus vraiment, mais c'est promit, je vais faire tout ce que tu m'as dit. Et c'est quoi ce nom, Akatsuki ?- C'est une organisation, mais tout te sera expliqué dans la lettre que tu viendras prendre.- Pourquoi ne me donnes-tu pas la lettre de suite ? Cela ira plus vite, tu ne crois pas ?- NON, venait de prononcer le père en criant. Je suis désolé d'avoir crié, mais je ne peux vraiment pas, ne montre la lettre qu'à l'hockage s'il te plaît. Fait le si tu nous aime, ta mère, ta grande soeur, ainsi que moi. Ne pose plus de question comme cela s'il te plaît. C'est déjà assez dur.Kiba ne discuta plus. Il se laissa embrasser par sa grande soeur, puis sa mère, puis son père. Le repas arriva. C'était un repas sinistre. Aucune parole n'était prononcé par personne. Il monta dans sa chambre après s'être brossé les dents. Il regarda le plafond, allongé dans son lit et repensa à tout ce qui lui avait été dit. Sa soeur monta le voir dans sa chambre avec son chien à elle.
- Bonne nuit Kiba, écoute, si un jour, tu as besoin de nous, en cas de réelle danger, nous pourrons te venir en aide. Nous le pourrons seulement si tu regarde cette photo et en pensant très fort à nous.La photo représentait chaque membre de la famille Inuzuka avec le chien de chaque personne. Il se voyait au milieu avec Akamaru sur sa tête.
- Tu devras faire une autre chose, également pour nous voir. Tu devras maîtriser parfaitement ton chakra. Tu mettra un maximum de chakra dans tes mains, sans couper la photo en deux, et tu prononcera "Inuzuka". Ce n'est pas plus compliqué, mais il te faut une parfaite contrôle du chakra. Demande à l'hokage de te faire maîtriser le chakra le maximum possible. Ne le dit pas aux parents que je t'ai donné cette photo ninja. Ils croivent qu'elle à été jeté aux ordures il y a cinq ans. Fait bien attention à vous deux, et survie par tous les moyens, reconstruit notre lignée. Je t'aime petit frère.Puis elle embrassa sur la joue Kiba ainsi qu'Akamaru. Elle sortit de la chambre. Quelques minutes par la suite, son père et sa mère vinrent le voir dans son lit et dirent en choeur.
- Nous t'aimons plus que très fort notre fils !Ils l'embrassèrent également et sortirent de la chambre. Leur étaient aussi avec eux. Cela était bizarre qu'ils viennent tous lui dire bonne nuit, surtout avec leur chiens, alors que rien de tout cela ne s'était produit auparavant. Il regarda tout le monde sortir, et fixa le plafond en repensant de nouveau à tout cela. Il finit par là suite à s'endormir.
Il fit une partie de la nuit sans rêve. Il se réveilla en sursaut, des coups lui faisant très mal au coeur, il était que deux heures et demi du matin. Il avait de plus en plus mal au coeur. Quelque chose frappait fort et la douleur finit par se répandre aussi dans son estomac. Il se leva toujours aussi mal. Il appella toute sa famille, mais personne ne répondait. Il courait dans tous les sens, sortit dehors, appella encore une fois tout le monde, mais de nouveau, personne ne répondit.
Il sortit de chez lui ne pouvant prendre le temps de se rechausser, courut dans les rues se souvenant qu'il devait les trouver par là, pendant la nuit avec Akamaru. Il ne s'était même pas rendu compte qu'Akamaru venait de la rattraper en courant et venait de sauter sur sa tête. La pluie commençait à tomber mais il ne s'arrêta pas de courir, même pied nue.
Il tourna soudain dans une rue eet ouvrit les yeux grand, trébucha sous l'horreur en face de lui et tomba dans la gadoue. Tous les murs étaient endommagés, plein de traces de pas sur le sol, de chiens, de sa famille et des traces inconnues. Il y avait un corp sur le sol. Un corp portant une cape noir avec des nuages rouges, il avait la moitié de la tête tranché, sûrement par un chien de sa famille.
Sa famille, elle était suspendu dans les airs, par une corde, giclant le sang de partout. Ils avaient sûrement été pendu après avoir eut un combat acharnés. Les yeux de sa famille sortaient de leur orbite, ils avaient tous les bras coupés, les jambes aussi, et la tête un peu élevé par rapport au corp, sûrement par le coup de la corde. Leurs chiens étaient également pendus, les pattes coupées, la tête identiques à leur maître. Tous les bras, les jambes ainsi que les pattes, brûlaient derrières eux.
KIba hurlait à la mort et Akamaru aboyait tellement qu'il pourrait s'étouffer par les aboiements. Kiba s'approcha d'eux, tremblant, les larmes énormes, ne pouvant être surpassés. Il devait faire ce que son père lui avait dit. Il devait prendre dans la poche droite de sa veste la lettre. Il tendit le bras, ferma les yeux et plongea la main dans la poche de son père. Il en sortit comme prévu un parchemin. Il le déroula et lut :
Mon fils,
Nous avons effectués un combat que tu ne pourrais imaginé. Nous n'avons pas été assez fort pour les battre. Je vais t'expliquer désormais certaines choses. Nous sommes mort pour que tu puisses vivre. Si nous ne mourrions pas, ils t'auraient tués. Mais finalement, nous t'aimons tellement qu'ils nous ont tués. Ils ignorent ton existence. C'est pour cela qu'ils ont crus avoir réussi à décimer la ligner des Inuzuka. Nous comptons sur toi pour la faire revivre.
C'est l'organisation Akatsuki qui a décidé de notre mort. Akatsuki, comme tu me l'avais demandé, est là pour posséder les pouvoirs des bijuus. C'est à dire des monstres possédants des queues, donc ont une force énorme.
Nous te léguons tous nos biens. Nous ne sommes plus de ce monde, mais avant de mourir, ta soeur nous a finalement dit qu'elle ta donné la photo ninja. Ce qui nous a laissé mourir dans la joie car nous te reverrons un jour. Voici notre testament :
Tout ce qui appartient à la famille Inuzuka te revient ainsi que tous les ryos de cette famille. Je ne peux plus te dire la somme exacte de ceux-ci, va voir le Hokage. Il te le dira. Va le voir pour ta maîtrise de chakra qui te sera plus que très importante.
Nous comptons sur toi. Si tu as besoin d'aide, nous sommes là, et tous tes amis également. Comme je te l'ai dit hier soir, ne laisse tomber tes amis pour rien au monde. Sauve les même si tu dois donner ta vie.
Nous t'aimons fort. Ta mère, ton père et ta grande soeur.
Kiba était tombé à genoux. Il était devenu en rogne à cause de ce qui venait de se passer. Il se releva, rangea la lettre dans sa poche, donna une pillules énergétiques à Akamaru, en prit une également, et se mit à courir en direction de l'habitat du maître Hokage. Au lieu de maître environ une demi-heure pour y arriver, il mit que conq minutes grâce à la rage qu'il possédait et à la pillule. Il allait se venger contre Akatsuki, mais avant, devenir plus fort.
Il frappa à la porte d'Hokage-sama rapidement et fort et hurla de tout son possible pour le lever immédiatement. Akamaru, avait couru tout aussi rapidement que lui-même.
- MAITRE HOKAGE ! REPONDEZ-MOI VITE ! C'EST URGENT ! A L'AIDE, AU SECOURS ! IL Y A QUELQU'UN QUI PEUT M'AIDER ?La porte s'ouvrit à la volée et regarda attentivement la personne sur le pas de la porte, toujours en pleurt, trompé de gadoue, sale, pied nue, essouflé et tout le reste. Il avait plus que besoin d'aide.
Sujet: Extermination d'une lignée de famille 
Mar 27 Mar - 18:52
