Kiba entra dans cette salle qu'il connaissait déjà pour l'avoir fréquenté il y a peu. Il rentra, se déchaussa, monta sur le tatami et déposa Akamaru. Il fit le signe de la chèvre, concentra du chakra dans ses pieds et grimpa au mur puis sur le toit.
- Akamaru, nous allons nous entraîner à une chose qui nous sera sûrement utile plus tard. Vu que nous avons un odorat surdéveloppé par rapport à toutes les personnes sauf les inuzuka, j'ai une très bonne idée. Pendant un combat, vu que certaines personnes souvent se cache, tu vas marquer ton territoire sur l'adversaire. Lorsque ce sera le cas, nous pourrons le localiser par l'odorat même si il se cache. D'accord ?
Akamaru aboya et se tint prêt. Kiba plaça quelques cibles un peu partout et se se mit au fond des tatamis. Il fit signe à Akamaru de courir.
- Attend Akamaru, seulement lorsque je te le dirais tu le feras.
Ils s'élançèrent au bout d'un moment, en l'air il fit signe au chien.
- Maintenant, marquage du territoire !
Ce chien blanc comme neige commença à pivoter sur lui même et toucha le trois quart des cibles. Ils atterissèrent à l'opposé de la grande salle. Kiba se releva.
- Très bien Akamaru, on va voir les cibles que tu as touché.
Il sentit chaque cible.
- C'est presque ça Akamaru, tu as touché six cibles sur les huit que j'avais positionnés.
Par la suite, il sauta partout avec Akamaru en s'accrochant avec ses pieds sur les toits, sur les murs, reposé au sol, encore sur les toits... Il travaillait sa rapidité avec les esquives lorsque Akamaru marquait son territoire sur Kiba.
Au bout de quelques minutes, il s'arrêta un peu essouflés. Il se rapprocha de ses chaussures q'il avait enlevé peu avant. Il défit les dessous, les semmelles de ses chaussures et en retira des poids d'entraînements. Il se les fixa au niveau des tibias.
Il recommença à travailler sa vitesse et ses esquives avec ses poids. C'était beaucoup plus dur. Il transpirait encore plus. Il en profita en même temps de frapper le mur en passant chaque cible qu'il avait renouvelé.
Deux heures plus tard, il s'arrêta n'en pouvant plus et repartit se chausser et replacer les poids dans ses chaussures, après tout avoir nettoyé ce qui avait mit un bon quart d'heure.